Il existe une explication scientifique…

Question de sécurité ? Non, bien que la « tenue sportwear » justifie à elle toute seule la désertion. À Paris, pour cavaler sur le périlleux macadam urbain, il est impératif de porter un masque anti-pollution et de s’affubler de la tenue d’un joueur de base-ball. Le bonheur de l’étoffe quoi…
Les infrastructures sportives sont trop onéreuses ? Oui et bien qu’elles ressemblent davantage à un élevage en batterie, les tarifs des clubs de gym ne font pas peur aux « poulettes »…
Jamais le temps ? Il existe une particularité à toutes les furies wonder parisiennes : elles courent à leur insu. Ben oui. Pour être à l’heure au taf, à leur rendez-vous, avant la fermeture des boutiques, chez l’esthéticienne, au pressing, à leur apéro, leur 5 à 7, etc. Bref, le manque de temps fait justement courir…
Pas de volonté ? Mmmhhh… Quand on veut, on peut. Et je ne vois pas ce qu’il y a de rebutant : à transpirer, avoir des courbatures, répéter les mêmes mouvements, pousser même des cris pendant l’effort comme une Monica Seles en pleine « balle de match ». Non, vraiment… là… Vois pas…

La raison est simple : fallait juste tomber dedans « petit », comme le clame si bien un célèbre rouquin à nattes :

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Et non seulement faut démarrer jeune, mais en plus il faut une « carotte »… on est pas sorti de l’auberge…

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