GLOSE EN 2012
Glose est avant tout le nom d’un blog… mais aussi la signature de l’auteure, fondatrice du blog. (Pas fan de l’appellation « blogueuse »…)
Sous ce nom de plume se cache avant tout une nana qui aime découvrir les nouvelles tendances absurdes ou géniales, jouer l’actrice pour son ami Kendy, photographier son quotidien et celui des autres, raconter des histoires et surtout gloser… avec un chouïa d’impertinence !
Et tout y passe sur son blog :
> la mode (avec le décalé « je comprends rien à la mode« ),
> les objets insolites ou coups de coeur (lifestyle)
> la déco (avec l’ultra fun « déco-pote« ),
> la culture pop (« bla bla culturel« ),
> les soirées parisiennes (« Night in Paris« )
> le journal de bord d’une parisienne (Avec le personnage Joy : en[joy])
> les voyages, les femmes, les sujets de société (avec l’ironique « ça fait mag« ).
> du geek (Geek & hype)
Du lifestyle oui, mais franchement décalé !
Et si la nuit elle n’use pas ses talons, une coupe de champ’ à la main dans une soirée parisienne, elle se plonge dans l’écriture d’histoires. Et tout a commencé le jour de son 6e anniversaire :
« Je rêvais d’une poupée, ma grand-mère m’offrit un livre. 1er conflit générationnel.
Ce bouquin, « La chèvre de Monsieur Seguin », je finis par le lire à contrecœur.
Une fois le livre refermé, sans aucune modestie, je me suis écriée : » Mais c’est trop facile d’inventer des histoires ! ».
Je me suis mise dès lors à la tâche… avec mes crayons et mes pinceaux. Eh oui… je ne savais pas encore écrire... »
Et aujourd’hui, vous pouvez découvrir son roman « Conte de nuits parisiennes » (tout un programme) sur Amazon (accessible en lecture digitale seulement).
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GLOSE EN 2011
« Glose, mises en scène de la vie quotidienne » – clin d’œil à l’ouvrage d’Erving Goffman – est né du désir de porter un regard décalé, de capter l’art dans la vie de tous les jours, d’offrir un œil critique, sans oublier de se mettre aussi en scène. Mes propres « gloses » ont pour vocation d’offrir un certain éclairage sur le monde environnant, par des notes, des entretiens, des images et des vidéos.
Dotée d’une double casquette, je joue et j’observe.
——————————————–LE JEU ———————————————-
Raconter des histoires. Être une autre par le costume et la mise en scène. Rendre le quotidien plus ludique. Créer des clichés esthétiques et poétiques, générant une émotion, une histoire, ou évoquant un souvenir.
————————————– L’OBSERVATION —————————————-
En appréhendant notre époque avec un regard parfois sociologique, tantôt poétique. Voyager et découvrir. Capter les moments magiques, de folie douce, poétiques, fantaisistes. Saisir les couleurs sous la grisaille. Découvrir ma vision de Paris de jour comme de nuit. Gribouiller mes réflexions sous forme de chroniques humoristiques. Révéler les objets de mon quotidien, son esthétisme ; les petites touches d’art visuel que chacun peint dans son espace.
En somme… un blog sur la vie, dans une ville, à un instant T.
En savoir plus :
Les pages culturelles
C’est une interview avec photos de « l’appartement star ».
Un lot de questions récurrentes pour mieux connaitre la personne et ses habitudes.
+ 1 question par thématique qui varie pour surprendre un peu l’interviewé.
Déco-potes : c’est une façon de voir comment les gens vivent leur habitat, de connaître leurs habitudes domestiques et leurs réactions.
Découvrir leur conception de l’intérieur, la scénographie de leur quotidien sur une scène privée, invisible au monde extérieur.
Culture geek tout simplement.
Objets, styles, concours, carnets de voyage…
Mes coups de cœur et mes interrogations ironiques…
Mes mises en scènes. Certaines parlent de « Ma danseuse » pour parler d’une passion, parfois coûteuse… moi j’ai envie de parler de « Ma poupée ». Parce que c’est mon blog, parce que j’aime rebaptiser et me réapproprier une expression désuète, parce que c’est moi !
Pourquoi poser ?
Bonheur de participer à une œuvre, une création, de se voir autrement, de s’exprimer corporellement… Ce sont des petites bulles de champagne, un joli divertissement, une satisfaction simple et obtenue rapidement.
Le plaisir procuré par l’écriture est le résultat d’un très long processus. La photo permet d’assouvir ce besoin maladif de produire et de rester dans un processus créatif grâce un résultat rapide avec certes, une certaine reconnaissance. Ce qui n’est pas envisageable dans l’immédiat avec l’écriture d’un roman.
La photo pallie à des manques, à un perpétuel besoin de créer.
L’envie aussi de laisser une trace…
Un besoin narcissique, superficiel ? Peut être que oui… mais pas que. Je pense que certains individus très sensibles et accessoirement « artistes » ont des besoins et des comportements qui dépassent la compréhension de certaines personnes qui ne voient pas la nécessité de s’exprimer par un art.
J’aime aussi me mettre en scène comme Cindy Sherman et Sophie Calle, faire des autoportraits. L’intention est de créer, faire de beaux tableaux, illustrer un concept, ou caricaturer encore. La démarche est purement artistique.
Pour le côté ludique et le challenge. Certaines photos sont des petits défis, le résultat du « J’y vais, je le fais, je n’ai pas peur». C’est une autre façon de se voir, de participer à la mise en scène du réel et de découvrir de quoi je suis capable.
Il y a effectivement d’autres façons plus héroïques et intelligentes de se surpasser, d’affronter ses peurs et le regard de l’autre. J’y réfléchirais quand ces dernières se présenteront à moi. Après, je n’ai pas la prétention de devenir une « surfemme ». A Chacun sa façon d’aborder et de concevoir son réel.
