2 nuits au festival de Cannes

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De passage dans le Sud, j’ai fait un stop au festival de Cannes…

Descendue à Cannes pour connaître les modalités d’un futur projet (vous en saurez plus dans les mois à venir…), je me suis retrouvée à trainer ma valise volumineuse avec une tendinite à l’épaule jusqu’à la terrasse du Carlton. Donc une arrivée en toute discrétion, avec de la sueur, une robe froissée et handicapée. Ensuite debrief sur la plage du Carlton qui est un cadre relativement agréable pour travailler, soit dit en passant 🙂
Ensuite, nous sommes allés nous poser dans une villa au Trayas près de Théoule-sur-mer. Donc, pas festivalière pour un sou et logeant assez loin, je n’avais pas envie de rentrer épuisée en faisant la nouba à pas d’heure. Et surtout, plutôt enclin à profiter de la villa :

Vue de terrasse de la villa : ceci explique cela 😉

Vue au bord de la piscine

Mais bon, n’étant pas non plus en convalescence, en bonne party girl, il était de mon devoir de redescendre à Cannes pour une petite incursion dans la nuit cannoise, en mode petite souris…
Donc pas de dîner d’amFAR, ni de gala, ni de soirée officielle de film, etc. J’aurais bien aimé passer à la « Chambre noire » où la marque de vodka Belvedere avait pris ses quartiers au sein même de l’hôtel J.W Marriott Cannes. Il paraît que ça valait le coup…

On a voulu débarquer en bateau à Cannes… mais le manque d’essence nous a fait redescendre sur terre…
On est allé à la Gare. Mais la pluie et les retards nous ont vaincus. Découragés, on est resté à la villa. Programme de la soirée : marteau-piqueurs a capella, concerto de crapauds et ballet de moustiques. Un must provencial.

Je fais ma crâneuse mais non on naviguera pas en bateau jusqu’à Cannes comme des kékés…

Sur la route du chemin allant à la gare : il pleut, y a pas de trottoir… c’est la misère…

Les 2 soirs suivants, ce fut voiture et taxi (120 euros l’aller-retour).

Le spectacle et défilés des tenues les plus dingues les unes que les autres n’étaient pas dans les parties, mais tout le long de la croisette : des tenues de princesses à la cagole, la rue offrait le show. Avis bien subjectif vu que – comme mentionné plus haut – je n’ai pas bougé dans les prestigieuses soirées…
Bon à savoir : luxe oblige, quand une SDF te demande une clope : elle veut une cigarette française et non une chinoise, sinon tirage de gueule…