Sommaire
À vos téléchargements !
Voilà…
1 an et demi de travail vient de s’achever. Et mon « bébé » va prendre son envol…
Pourquoi le digital ?
J’ai choisi d’auto-publier mon roman en version digitale pour plusieurs raisons :
> Au vu de certains succès aux États-Unis (Mommy porn, Amanda Hocking…) c’est un marché en plein essor…
Les ventes de livres numériques devraient même progresser de + 115% /an jusqu’en 2015 (lu sur « vendre-sur-kindle.com)
> J’ai travaillé trop longtemps sans l’aide de « professionnels de l’édition » pour leur proposer le fruit de mon travail. De plus, l’envie d’être décisionnaire sur l’ensemble du process d’édition ainsi que le dispositif de diffusion, a beaucoup fait pencher la balance. Et puis seuls les avis de mes lecteurs comptent pour moi…
> L’idée de proposer mon manuscrit sous forme dématérialisée sur les nouveaux supports offerts par les nouvelles technologies a fini par s’imposer comme une évidence. Envie de vivre une nouvelle aventure qui en est à ses débuts…
Bien sûr, l’ebook existe depuis plus de 10 ans mais je pense que le marché est enfin prêt depuis le succès des tablettes et smartphones. Les utilisateurs sont plus coutumiers à lire sur des écrans…
> Je ne vais pas vous mentir. J’ai toujours rêvé depuis enfant d’être publiée en « version papier » et de tenir MON livre entre mes mains. Donc bien évidemment, je l’ai envoyé à des éditeurs et j’eus des refus. Mais la version que vous avez aller découvrir (le roman fait à présent 200 pages au lieu de 400), je ne l’ai JAMAIS envoyé. Donc le choix du ebook n’est pas un choix par défaut. Aujourd’hui, j’imagine bien une version papier à l’image d’une édition limitée de luxe et donc plus envisager « l’objet livre » comme un objet collector. Et aussi d’être adapté sur petit ou grand écran :))) (On peut rêver, non ?)
> Kindle n’est pas sectaire : vous pouvez le lire sur sur votre téléphone, tablette Android, iPad, iPhone, PC ou Mac, en téléchargeant l’application Kindle
Un projet semi-participatif
> VOUS avez choisi le titre sur Facebook suite à 2 scrutins !
Feu « Les Boîtes » devient « Conte de nuits parisiennes« .
> VOUS avez choisi la photo de couv’.
Comme vous le savez, je suis une fan inconditionnelle du travail de Scalp. J’avais déjà posé pour lui et c’est tout naturellement que je me suis tournée vers lui d’autant plus que le sujet s’y prêtait (une photo dans le noir).
> Je ne dispose pas d’un réseau de diffusion, ni d’un canal de distribution, ni encore de la force de frappe d’une grande structure d’édition pour promouvoir mon roman.
Donc je compte sur vous pour en PARLER et PARTAGER !
Je veux du LIKE, du SHARE, de la RECOMMANDATION, du COMMENT (sur amazon), du TWEET, du RETWEET, du REBLOG, DU PLUSSOIEMENT bref RELAYEZ le roman !
Amazon est un levier important, car il permet d’être visible par des millions de lecteurs potentiels. Mais si personne commente, ni ne partage, « Conte de nuits parisiennes » restera dans les limbes d’internet…
Je compte donc sur vous pour créer le BUZZ et surtout montrer qu’un roman peut être reconnu en dehors du schéma traditionnel mis en place par les grands acteurs du livre (éditeur, diffuseur, distributeur, agent, attaché de presse…)
Et avoir des comments sur Amazon et du SUCCÈS 🙂
L’aventure commence…
4e de couv :
« Il était une fois la rencontre improbable entre Cendrillon, La Belle au Bois Dormant et la Petite Fille aux allumettes. Ou comment le roman d’apprentissage et le conte philosophique font échos aux préoccupations féminines d’aujourd’hui. »
Un brin espiègle, un soupçon sexy, une goutte de sueur et deux de fantaisie, “Conte de nuits parisiennes” vous déshabille. Glose signe son premier roman d’un zeste acidulé qui ne trompe pas. On est à Paris et on apprend où aller, à aimer, à se perdre, à se réaliser et à s’épanouir au-delà des modèles, celui qu’il faut chercher au plus profond de soi pour en percevoir la lueur… et qu’importe le prix.
Entre fiction et réalité, le roman révèle un genre féminin qui tourne en dérision ses complexités entre Superwoman, sexy girl et… Bridget, peut-être.
Alors l’héroïne s’enfonce dans l’obscurité et les méandres d’une grotte. Des synapses, des nœuds, des boîtes, des Cendrillons et des Barbies, des masques et des corps sensuels, des fêtes et des larmes… mais surtout des choix à prendre. Le roman conte l’histoire d’une anti-héroïne longtemps endormie, qui assiste contre sa volonté à l’évolution d’un monde féminin actuel, bien éloigné de ses valeurs. Son exploration l’éveillera à jamais et nous plonge au cœur de nos doutes…
DÉBUT
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En plein désert, une jeune femme se retrouve nez à nez avec une pin-up lui ordonnant d’exaucer un vœu. Incapable de formuler le moindre souhait, elle est mise au défi de retrouver des boîtes dans une grotte. N’ayant pas le choix, elle se met à la tâche pour sortir de ce cauchemar au plus vite. Mais que va-t-elle y découvrir ?
Plus d’infos :
> Le site « Conte de nuits parisiennes » (en cours : à vous d’envoyer des photos, citations, images, correspondant à l’univers du roman !)
> Mini-présentation des personnages.
> Début du roman
3 commentaires
[…] de la séance pour illustrer la couv’… Certaines sont plus des délires que collant à l’histoire du roman, d’autres sont floues car j’ai un poil bougé. Mais tant pis je les aime bien quand […]
Avant de « créer le BUZZ et surtout montrer qu’un roman peut être reconnu en dehors du schéma traditionnel mis en place par les grands acteurs du livre », êtes-vous certaine d’avoir épuisé les possibilités classiques d’édition ? Ainsi ce monsieur, publié à compte d’éditeur après … 160 refus.
http://refusdediteurs.webs.com/liste_des_editeurs.html
Non, je n’ai rien épuisé… je l’avais envoyé à 5-6 éditeurs à l’époque. Mais comme je l’explique, j’ai vraiment envie de vivre l’aventure du digitale 🙂
Et pourquoi pas, si j’arrive à mettre de côté, un tirage papier limité pour les adeptes de la feuille 🙂 Mais ce ne n’est pas dans mes projets pour l’instant !