La séquence écolo de l’année…

Le coït est :
> une activité à portée de toutes les « bourses »
> sans contraintes saisonnières,
> avec une garantie minimale de plaisir, renouvelable jusqu’à l’irritation cutanée,
> les ébats sont surtout consommateurs d’oxygène sans le moindre impact sur l’environnement…
Je vous apprends rien, du moins je l’espère…

Mais ce billet prend toute sa portée en ce qui concerne le choix des moyens contraceptifs, et si vous êtes dans l’optique de réduire votre impact environnemental. Si vous vous en contrefichez, vous pouvez arrêter votre lecture.

Écolos de tous bords ! Sachez qu’avoir une sexualité affranchie de toute procréation demande du matos !

Et donc des matières premières, de l’énergie, et des ressources. Combien d’hectares, de surface productive vous allez bousiller pour l’éternité ou presque, pour 2 secondes à 1h de plaisir ? J’en ai pas la moindre idée, mais sachez que certains préservatifs sont préférables à d’autres et qu’il vaut mieux s’enfoncer un stérilet que d’avaler la pilule.

Bref, si vous êtes responsable, un membre de Greenpeace, un écolo dans l’âme, ou tout simplement soucieux de l’avenir de la planète et que vous vous demandez :
> « Comment réduire votre empreinte écologique tout en laissant une trace de vos exploits ? »
> mais aussi « Faut-il faire l’amour dans le noir ? »
> « Gingembre ou viagra ? »

Il suffit de lire la fiche d’Écofrugal pour en apprendre beaucoup, beaucoup plus…