« Recevez vos clients comme vous recevez vos amis« . Telle est la philosophie des hôtels Radisson Blu.
Plus qu’un slogan accrocheur, une devise qui tient ses promesses au vu de l’accueil bienveillant qui nous a été réservé lors du dîner avec Fabrice Martin le directeur des hôtels Radisson Blu Paris. Un homme aussi charmant qu’avenant. Oui parce que nous avons mis à l’épreuve la philosophie du Radisson. Ce Monsieur a patienté plus d’1 heure et demi alors que la faim le rongeait à force d’attendre 2 blogueuses joyeusement guillerettes qui tardaient à venir suite à une dégustation de champagne. Respect. Quand une personne me fait poireauter alors que j’ai les crocs, mon humeur tient plus du miaulement de Gremlins que du chaton.
L’esprit maison est donc bien là et la « table » n’est pas en reste : un jeune maître des sens au curriculum vitae musclé officie dans les coulisses. Aux commandes le chef Stephane Pitré, ancien sous-chef du Restaurant Alain Senderens, nous a offert une cuisine gastronomique de haut vol, à savoir un doux mélange de saveurs asiatique et française. Si esthétique et créatif que je n’osais à peine y toucher où plutôt je ne savais pas comment m’y prendre. Visez la crevette dans le bocal :
C’est beau… c’est une hors-d’oeuvre mais la saisir demande une certaine dextérité. Et puis au diable les bonnes manière, j’ai fini par mutiler cette crevette de queue en cognant ma fourchette sur tous les rebords. Heureusement le verre ne tintait pas.
L’entrée fut plus conventionnelle et asiatique : ravioles de langoustine, consommé clair de coriandre
Puis j’optai par la suite pour un plat festif : le homard en cocotte de légume cuit et cru
(oui je m’embête pas…)
Le serveur nous dresse une jolie assiette en moins de deux…
Vint le chariot à desserts…
Pour moi, ce fut une tarte aux raisins.
Les plats concoctés par le chef et la qualité du service qui l’accompagne vous séduiront.
Le restaurant de l’hôtel le Metropolitan est sans conteste une adresse à retenir…
Quelle est THE question, celle qui me chatouille quand je me retrouve à la table d’un directeur d’hôtels 4 étoiles ?
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Vous séchez ?
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Allez un petit effort….
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Quelles sont les demandes les plus farfelues ou du moins peu ordinaires qu’il a dû satisfaire ?
(Non sexuel, hein ! Cela s’entend…)
Je me suis un peu crue dans le roman Le diable s’habille en Prada quand Lauren Weisberger l’assistante de Anna Wintour décrit les demandes « capricieuses » de sa boss.
La requête qui arrive en tête est : dîner à la Tour Eiffel pour le soir-même. Sachant qu’il faut 3 mois d’attente environ. Et pourtant… le staff du Metropolitan arrive à vous dégoter une table à la dernière minute.
Puis dans le désordre, ça va de :
> Privatiser un bateau
> Trouver des places de concert
> Les demandes en mariage ou comment retourner et transformer une chambre en 30 min avec pétales de rose, bougies et tutti quanti
> Réserver une chambre juste pour prendre une douche
> Commander une limousine pour l’héliport de Paris.
à :
> Éviter la queue au Salon du Bourget et arrivée en hélico.
> Privatiser le quai Branly avant son ouverture pour une famille (je ne me souviens plus de quelle genre de famille est-ce… mais pas la mienne en tout cas)
> Faire ouvrir le Bourget pour chercher un client
> Faire fermer le quartier pour le film « Elle s’appelait Sarah » (demande d’autorisation à la mairie...)
Sur ces bonnes notes, je suis allée me coucher. Fatiguée et repue. Dans ma chambre à l’hôtel Radisson Blu Champs-Elysées. (suite au prochain épisode).
Le lendemain…
Direction re-Metropolitan, pour un petit massage de 30 min à la piscine de l’hôtel (privatisée pour Louise et moi) et visite d’une suite avec vue sur la Tour Eiffel (Encore ?! Voir les photos de mon billet Le Dokhan’s). J’adore être massée, dès que je peux, je cours me faire manipuler et ce soin tombait à pique avec mes problèmes de dos. Autant dire que je suis une cliente exigeante. Et ce fut donc une grande surprise de tomber sur une masseuse à la voix douce, une poigne de fer et à l’écoute du corps. Je lui avais demandé un massage style « shiatsu » avec points de pression. Excellente, elle a un certain don. J’étais un peu déphasée en me levant.
La dernière chose qu’il me reste à faire au Metropolitan, c’est de déguster un cocktail au bar du 1er étage de l’hôtel avec vue sur la Tour Eiffel lors de l’after work. Du mardi au vendredi de 18h à 20h, le second cocktail est offert. A bon entendeur…
Mes autres billets à lire sur les hôtels Radisson Blu :
> Ambassadrice Radisson Blu
> Radisson Blu Boulogne
> Le Dokhan’s
○ Plus d’informations ○
Radisson Blu Metropolitan Hotel, Paris Eiffel, 10 Place de Mexico
75116 Paris
Site web : http://www.radissonblu.com/hotel-pariseiffel
+33 1 56 90 40 04
Nuit à partir de 232 euros
Plus de photos sur le Radisson Blu Metropolitan Hotel
Les salons du Metropolitan
Du marbre noir, du bois, une statue en bronze des fauteuils blancs… so chic
Côté restaurant
Vue d’une chambre Deluxe. 5 types de chambres au Metropolitan : classique / deluxe/ Junior suite /Suite avec vue sur la Tour Eiffel/ La suite Eiffel avec son œil-de-bœuf
Ici une deluxe d’une superficie de 22m2
Salle de bain en marbre noire… j’adore
Suite avec vue sur la Tour Eiffel. Vu du lit…
Le bois et la zénitude dominent…
Lorsque vous sortez de l’hôtel…
A une centaine de mètres… la Dame de Fer